26 mars - 5ème dimanche de Carême - Lazare - Quête/Collecte CCFD-Terre Solidaire — Paroisse de Gray

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26 mars - 5ème dimanche de Carême - Lazare - Quête/Collecte CCFD-Terre Solidaire

Ouvrir les tombeaux pour délier des liens de la mort (1re lecture et Évangile), mais aussi ouvrir les corps et les coeurs pour y faire demeurer l’Esprit de vie (2e lecture), tel est le projet de Dieu pour tout homme. Mais il nous invite à y collaborer en soulevant nous-mêmes les pierres et en déliant nous-mêmes ceux qu’il rend à la vie, pour les laisser aller sans vouloir les retenir. Au coeur de toute détresse, Jésus partage nos pleurs et nous fait partager son oeuvre de résurrection.(Éclairage biblique par Olivier Bourion, bibliste, CCFD-Terre Solidaire)

25 MARS - 5ème DIMANCHE DE CARÊME
3ème scrutin des catéchumènes, 3ème étape du chemin vers l'eucharistie
COLLECTE / QUÊTE AU PROFIT DU CCFD-TERRE SOLIDAIRE (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement)

COLLECTE / QUÊTE AU PROFIT DU CCFD-TERRE SOLIDAIRE

En 1961, la Conférence des évêques de France
mandate le CCFD-Terre Solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement),
afin de mobiliser les chrétiens face aux enjeux de solidarité internationale, notamment lors de la période de Carême.
Depuis 62 ans, cette mission anime le CCFD-Terre Solidaire
pour plus de solidarité avec nos frères et sœurs qui agissent sur les causes de la faim.
C’est dans cet esprit que le CCFD-Terre Solidaire,
composé de 29 mouvements et services d’Église, propose chaque année un thème.
Cette année :
"POUR TOUS CEUX QUI RÊVENT DE SE NOURRIR EN PAIX"

« La charité, par son dynamisme universel, peut construire un monde nouveau, parce qu’elle n’est pas un sentiment stérile, mais la meilleure manière d’atteindre des chemins efficaces de développement pour tous. L’amour social est une force capable de susciter de nouvelles voies pour affronter les problèmes du monde d’aujourd’hui. » Fratelli Tutti § 183

LE DON, UN TÉMOIGNAGE DE SOLIDARITÉ
Damien Cousin, Directeur du développement des générosités


Depuis 60 ans, chaque jour, des milliers de bénévoles dans les territoires – épaulés de salariés en régions ou au siège –se mobilisent  pour collecter les dons qui vont financer nos actions. La période de Carême reste un temps très fort de la collecte de fonds du CCFD-Terre Solidaire, et nos bénévoles notamment rivalisent d’ingéniosité pour trouver des fonds dans un contexte qui se complexifie.
Pendant la période de Carême, ce bel effort collectif nous permet de collecter 30 % de nos dons de l’année grâce à des actions locales et nationales. Depuis de nombreuses années, nous avons diversifié nos sources de dons en nous adaptant au monde qui évolue. Nous
appelons ainsi à dons via de multiples canaux (web, mailing papier, collecte de rue…). Cet élan de générosité de Carême est un acte fort au service de notre action.
Depuis plusieurs années les Libéralités (legs et assurance-vie) au profit de notre organisation progressent, la période de Carême peut être un bon moment pour choisir de pencher sur son testament pour que la générosité se perpétue après sa mort !
Dans le contexte économique actuel, plus que jamais, le geste de don, petit ou grand, est le témoignage de la solidarité de nos donateurs au service de nos frères et soeurs en humanité, moins favorisés que nous, et agit selon le principe de la destination  universelle des biens, un des piliers de l’enseignement social de L’Église.

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CLÉS DE LECTURE DIMANCHE 26 MARS (PRIONS EN ÉGLISE)

PREMIÈRE LECTURE | Ézékiel 37, 12-14
Ézékiel est envoyé par Dieu au milieu d’une vallée qu’on pourrait appeler Val-de-la-mort, puisqu’elle est remplie d’ossements desséchés. Dieu lui demande de prophétiser sur ces ossements pour que l’Esprit souffle sur eux et les couvre de nerfs, de chair et de peau. Le prophète acquiesce et invoque l’Esprit : « Viens des quatre vents, esprit! Souffle sur ces morts, et qu’ils vivent! » (Ez 37, 9) Le Seigneur confirme que ces ossements, « c’est toute la maison d’Israël » (Ez 37, 11), qu’il veut ramener à la vie : « Je mettrai en vous mon esprit, et vous vivrez ; je vous donnerai le repos sur votre terre. » Il faut dire que la foi en la résurrection des morts s’est fixée tardivement en Israël, mais le prophète Ézékiel aura grandement contribué à faire avancer cette donnée majeure de la foi.

1ère lecture
Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël. Vous saurez que Je suis le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai remonter, ô mon peuple ! Je mettrai en vous mon esprit, et vous vivrez ; je vous donnerai le repos sur votre terre. Alors vous saurez que Je suis le Seigneur : j’ai parlé et je le ferai – oracle du Seigneur.
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PSAUME | Psaume 129
Ce psaume est un cri d’une immense détresse : les « profondeurs » pourraient bien être celle du shéol, c’est-à-dire des frontières de la mort. Mais face à la gravité de la situation, le psalmiste ne se laisse pas décourager. Il est convaincu que le Seigneur lui pardonnera ses fautes, et surtout il est animé d’une espérance à la hauteur de l’épreuve : « J’espère le Seigneur de toute mon âme; je l’espère, et j’attends sa parole. » Il est toujours sur la brèche pour guetter l’aurore et attendre le Seigneur. De l’oppression qui l’accablait, il passe à l’assurance que lui garantissent l’amour de Dieu et l’abondance de son rachat. On comprend que ce psaume soit devenu, dans la liturgie, un classique de la prière pour les morts.

Psaume
Refrain: Près du Seigneur est l’amour, près de lui abonde le rachat.
Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur, Seigneur, écoute mon appel ! Que ton oreille se fasse attentive au cri de ma prière ! 
Si tu retiens les fautes, Seigneur, Seigneur, qui subsistera ? Mais près de toi se trouve le pardon pour que l’homme te craigne. 
J’espère le Seigneur de toute mon âme ; je l’espère, et j’attends sa parole. 
Mon âme attend le Seigneur plus qu’un veilleur ne guette l’aurore. 
Oui, près du Seigneur, est l’amour ; près de lui, abonde le rachat. C’est lui qui rachètera Israël de toutes ses fautes. 
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DEUXIÈME LECTURE | Romains 8, 8-11
Paul est conscient de l’ambiguïté de l’existence chrétienne : si vous vivez selon la chair, explique-t-il, vous allez mourir. Mais si, par l’Esprit, vous tuez les agissements de l’homme pécheur, vous vivrez. La mort viendra sans doute, mais « Si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus, le Christ, d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous ». Paul confirme ainsi la justesse de la vision d’Ézékiel des ossements desséchés, puis ranimés par l’Esprit de Dieu.

2ème lecture
Frères, ceux qui sont sous l’emprise de la chair ne peuvent pas plaire à Dieu. Or, vous, vous n’êtes pas sous l’emprise de la chair, mais sous celle de l’Esprit, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous. Celui qui n’a pas l’Esprit du Christ ne lui appartient pas. Mais si le Christ est en vous, le corps, il est vrai, reste marqué par la mort à cause du péché, mais l’Esprit vous fait vivre, puisque vous êtes devenus des justes. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus, le Christ, d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
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ÉVANGILE | Jean 11, 1-45
Le récit de la résurrection de Lazare est le plus complet, intriguant et touchant de ce genre. Marthe et Marie, sœurs de Lazare et amies de Jésus font savoir à ce dernier que Lazare est malade. Jésus, convaincu que la maladie de Lazare « est pour la gloire de Dieu », tarde à venir. Lorsqu’il décide de se rendre à Béthanie, près de Jérusalem, les disciples craignent pour sa vie et se méprennent sur le « sommeil » de Lazare. Marthe et Marie sont déroutées par le retard de Jésus. Marthe fait une superbe profession de foi en la résurrection au dernier jour. Marie est en larmes et Jésus la console. Lui-même pleure lorsqu’il arrive au tombeau, mais il crie : « Lazare, viens dehors! » Ce que Lazare fait pour la joie de tous, et beaucoup de Juifs présents « crurent en lui ! » 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (11, 1-45)
En ce temps-là, il y avait quelqu’un de malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de Marthe, sa sœur. Or Marie était celle qui répandit du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds avec ses cheveux. C’était son frère Lazare qui était malade. Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. » En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. » Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Quand il apprit que celui-ci était malade, il demeura deux jours encore à l’endroit où il se trouvait. Puis, après cela, il dit aux disciples : « Revenons en Judée. »
Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs, là-bas, cherchaient à te lapider, et tu y retournes ? » Jésus répondit : « N’y a-t-il pas douze heures dans une journée ? Celui qui marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ; mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui. » Après ces paroles, il ajouta : « Lazare, notre ami, s’est endormi ; mais je vais aller le tirer de ce sommeil. » Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s’il s’est endormi, il sera sauvé. » Jésus avait parlé de la mort ; eux pensaient qu’il parlait du repos du sommeil. Alors il leur dit ouvertement : « Lazare est mort, et je me réjouis de n’avoir pas été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! » Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, pour mourir avec lui ! »
À son arrivée, Jésus trouva Lazare au tombeau depuis quatre jours déjà. 
Comme Béthanie était tout près de Jérusalem – à une distance de quinze stades (c’est-à-dire une demi-heure de marche environ) –, beaucoup de Juifs étaient venus réconforter Marthe et Marie au sujet de leur frère.
Lorsque Marthe apprit l’arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison. Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. » Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. » Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. » Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. »
Ayant dit cela, elle partit appeler sa sœur Marie, et lui dit tout bas : « Le Maître est là, il t’appelle. » Marie, dès qu’elle l’entendit, se leva rapidement et alla rejoindre Jésus. Il n’était pas encore entré dans le village, mais il se trouvait toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré. Les Juifs qui étaient à la maison avec Marie et la réconfortaient, la voyant se lever et sortir si vite, la suivirent ; ils pensaient qu’elle allait au tombeau pour y pleurer. Marie arriva à l’endroit où se trouvait Jésus. Dès qu’elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Quand il vit qu’elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, Jésus, en son esprit, fut saisi d’émotion, il fut bouleversé, et il demanda : « Où l’avez-vous déposé ? » Ils lui répondirent : « Seigneur, viens, et vois. » Alors Jésus se mit à pleurer. Les Juifs disaient : « Voyez comme il l’aimait ! » Mais certains d’entre eux dirent : « Lui qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? »
Jésus, repris par l’émotion, arriva au tombeau. C’était une grotte fermée par une pierre. Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du défunt, lui dit : « Seigneur, il sent déjà ; c’est le quatrième jour qu’il est là. » Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l’ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. » On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je te rends grâce parce que tu m’as exaucé. Je le savais bien, moi, que tu m’exauces toujours ; mais je le dis à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. » Après cela, il cria d’une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. » Beaucoup de Juifs, qui étaient venus auprès de Marie et avaient donc vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui.
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LA GRÂCE DES LARMES
Commentaire du dimanche : Karem Bustica, rédactrice en chef de Prions en Église

Que de larmes dans le passage de l’évangile de ce dimanche ! Même Jésus pleure la disparition de son ami. L’aspect décousu de ce récit nous met sur la voie : il s’agit d’un épisode théologique. C’est-à-dire que ce qui compte d’abord, c’est de découvrir qui est Jésus. La valeur théologique de cette histoire ne minimise pas pour autant les émotions et les détails sensoriels de la mort de Lazare. Par exemple quand le narrateur explique que le défunt est enterré dans un tombeau depuis quatre jours, tout recouvert de bandelettes. Ou quand, parmi les pleurs de la famille, des amis et des voisins, Marthe observe que Lazare sent déjà. Jésus pleure. Et c’est l’une des rares fois où cela est évoqué dans les évangiles. Les anciens – le pape l’a encore rappelé il y a quelques mois – identifient la grâce des larmes. Autrement dit, le don des larmes, comme des lunettes de douleur ou de joie qui nous aident à voir le Seigneur. Des larmes qui lavent nos yeux, qui éclairent notre regard, qui font briller la présence du Seigneur tout proche de nous. Les larmes de Marthe lui donnent de reconnaître en Jésus le Christ, le Fils de Dieu. Les larmes de Marie et de ceux venus l’accompagner leur ouvrent les yeux et suscitent la foi en Jésus. Et les larmes de Jésus ? Ces larmes confirment Jésus dans sa mission : rendre gloire à son Père, le faire connaître au monde, éveiller l’adhésion de ses contemporains… se confronter à sa propre mort. Et en cela, Jésus s’approche de chacun d’entre nous.
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QUAND TOUT REDEVIENT POSSIBLE
Médidation biblique Évangile selon saint Jean 11, 1-45
Marie-Laure Durand, bibliste, Prions en Église

Le temps de l’observation
La remarque de Marthe adressée à Jésus est percutante : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » On perçoit, dans ces paroles, toute l’aigreur et la colère qui sont les nôtres dans le deuil et la perte. Mais qu’est-ce que Marthe reproche à Jésus ? Peut-être pense-t-elle que Jésus aurait pu sauver Lazare avant qu’il décède ou que, étant présent, tout cela ne serait même pas arrivé parce que, en sa présence, la vie est plus simple ? Pourquoi Jésus tolère-t-il que ses amis et les amis de ses amis meurent ? Sa remarque est saturée de reproches, on entend presque sa voix trembler. Marthe s’enfonce. La mort de son frère la plonge, elle, dans les abîmes du doute et de la colère. Elle aussi s’éloigne de la réalité. Jésus lui parle, l’interroge, la reconnecte à l’essentiel, l’oblige par ses questions à sortir d’une spirale qui la tire vers le bas et l’entraîne, elle aussi, loin de ce qui fait vivre.

Le temps de la méditation
La question de Jésus est claire : « Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Cette question ­ramène Marthe à la surface, la fait remonter à la vie et au présent. Elle se reconnecte à Jésus. « Oui », elle croit que Jésus témoigne de la présence de Dieu dans ce monde. Progressivement, dans la relation à Jésus, elle revient à la confiance, cet état où tout redevient possible. Le retour à la vie de Marthe est un premier pas. Elle expérimente dans son désespoir et pour elle cette force qui touchera Lazare. Elle reprend pied. Elle fait confiance à Jésus comme le Fils fait confiance au Père. Jésus ne réalise pas de ­miracle. Il remet au centre le fait de croire que ce monde a un sens et que Dieu en est le garant. Nos abîmes, nos tombeaux, nos désespoirs sont des occasions de réentendre que la confiance est le chemin vers la vie.

 

Semaine après semaine, le CCFD-Terre Solidaire propose un parcours spirituel pour mettre en oeuvre des solutions
et construire une Terre Solidaire.
1er dimanche de Carême : « RELIER A LA RÉALITÉ DU MONDE »
2ème dimanche de Carême : « SE RELEVER PAR LES CHEMINS D'ESPÉRANCE »
3ème dimanche de Carême : « REGARDER L'AUTRE EN VÉRITÉ POUR AGIR ENSEMBLE »
4ème dimanche de Carême : « RÉPARER POUR RECRÉER LE VIVRE ENSEMBLE »
5ème dimanche de Carême : « LA RÉSILIENCE PAR L'AMOUR »
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UN CARÊME CONTRE LA FAIM ET POUR LA PAIX 
UN TEMPS POUR SE LAISSER TOUCHER PAR LES SOUFFRANCES DE NOTRE MONDE

À l’image du conflit en Ukraine, la guerre perturbe les productions agricoles, réduit l’accès à l’alimentation et provoque la faim. De même, les crises alimentaires et la faim divisent les communautés, fracturent les sociétés et entraînent des conflits. Tout au long de ce temps de désert qu’est le Carême, nous vous invitons à cheminer avec les partenaires du CCFD-Terre Solidaire qui, à travers le monde, agissent contre la faim et pour construire la paix. (CCFD-Terre Solidaire)

« LA VRAIE RÉCONCILIATION S’OBTIENT […] EN CRÉANT UNE NOUVELLE SOCIÉTÉ FONDÉE SUR LE SERVICE DES AUTRES PLUS QUE SUR LE DÉSIR DE DOMINATION, UNE SOCIÉTÉ FONDÉE SUR LE PARTAGE AVEC LES AUTRES DE CE QUE L’ON POSSÈDE PLUS QUE SUR LA LUTTE ÉGOÏSTE DE CHACUN POUR ACCUMULER LE PLUS DE RICHESSE POSSIBLE ; UNE SOCIÉTÉ DANS LAQUELLE LA VALEUR D’ÊTRE ENSEMBLE EN TANT QU’ÊTRES HUMAINS PRIME »
(PAPE FRANÇOIS DANS FRATELLI TUTTI (FT § 229).

5ème DIMANCHE - 26 MARS 2023
 « LA RÉSILIENCE PAR L'AMOUR  »

Nous pensons que la paix se construit au jour le jour, par l’écoute, l’accueil de l’histoire de l’autre, le dialogue
En ce temps de Carême, soyons les artisans de paix