23 avril - Saint Georges - Saint Patron de Saint-Broing — Paroisse de Gray

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Accéder au site diocésain

Paroisse de Gray Paroisse de Gray

23 avril - Saint Georges - Saint Patron de Saint-Broing

" Celui que les Orientaux appellent le "grand martyr" fut décapité à Lydda (Lod) en Palestine, vers 303. Sa légende le montre triomphant d'un dragon et en fait le type du chevalier affrontant les forces du mal. Il est le patron de l'Angleterre depuis le temps des Croisades" (Missel de l'assemblée pour la semaine, Abbaye de Clervaux)
Patron du scoutisme, saint Georges est fêté le 23 avril. Ce soldat et martyr du IVe siècle a refusé de renier sa foi. Il est souvent représenté en chevalier terrassant un dragon.

SAMEDI 29 AVRIL - 18h30 - SAINT BROING - MESSE ANTICIPÉE 

Saint Georges, entre « légende dorée » et réalité du martyre

Le Pape porte le nom du saint patron du Pape François, dont le nom de naissance est Jorge Mario Bergoglio. qui, selon la tradition, terrassa le dragon. Georges de Lydda était en réalité un officier chrétien de l’armée impériale romaine, né entre 275 et 280 en Cappadoce d’un père arménien et d’une mère palestinienne, et mort martyrisé sous le règne de Dioclétien le 23 avril 303. Élevé très jeune au grade de préfet, et affecté aux commandements militaires de régions difficiles comme la Syrie, la Libye, la Palestine et l’Égypte, il suscita la fureur de l’empereur Dioclétien en protégeant les populations chrétiennes qu’il devait réprimer. Après sa déchéance et son arrestation, il continuera à rayonner en prison, son action et son influence provoquant la conversion de son gardien et même celle de la propre femme de Dioclétien, la princesse perse Alexandra. L’empereur finira par le faire décapiter.

Son culte se répandra rapidement autour de la Méditerranée, mais ce n’est qu’au XIIIe siècle que Jacques de Voragine, dans La Légende dorée, popularisera l’image du combat contre le dragon, une représentation symbolique qui sera souvent reprise dans l’art et demeure très connue actuellement.
Vatican News
_______________

Au IVe siècle, tous les sujets de l'empereur Dioclétien sont instamment invités à offrir des sacrifices aux dieux de l'empire. Cet ordre est tout spécialement appliqué aux militaires, car il est le signe de leur fidélité aux ordres impériaux.
A Lydda, en Palestine, un officier, originaire de Cappadoce, refuse. Il est exécuté pour refus d'obéissance. La popularité de son culte sera telle que la piété populaire ne pourra se contenter des maigres données de l'histoire. [Saint Georges, sculpture Martin Damay]
On le fait couper en morceaux, jeter dans un puits, avaler du plomb fondu, brûler dans un taureau de bronze chauffé à blanc, donner en nourriture à des oiseaux de proie.
Chaque fois, saint Georges ressuscite et en profite pour multiplier les miracles.
A ces fioritures morbides, s'ajoute au XIe siècle, la légende de la lutte victorieuse de saint Georges contre un dragon malveillant qui symbolise le démon. Ce dont on est sûr, c'est qu'au IVe siècle, l'empereur Constantin lui fait édifier une église à Constantinople. Cent ans après, on en compte une quarantaine en Égypte. On les voit s'élever en Gaule, à Ravenne, en Germanie.
En France, 81 localités se sont placées sous sa protection et portent son nom. On ne compte pas avec précision le millier d'églises dont il est le titulaire. Il est le patron céleste de l'Angleterre et de l'Éthiopie. Il figure sur les armoiries de la Russie (écusson de la Moscovie).
On a voulu nier son existence. L'absence de précisions ne font pas disparaître la mémoire de ce martyr de Palestine.
Les circonstances exceptionnelles de sa mort l'ont fait appeler par les chrétiens d'orient "le grand martyr". Son culte s'est très rapidement développé. Il est devenu le saint protecteur de nombreux pays, de l'Angleterre, notamment, et de la Géorgie qui porte son nom.
Les croisades contribuèrent à donner au culte de saint Georges un grand éclat, notamment parmi les chevaliers français et anglais. Il était légitime que les cavaliers le choisissent comme saint protecteur. (diocèse aux armées françaises)

 

Saint Georges, patron de l'armée blindée et cavalerie (Diocèse aux armées)

Saint Georges
Saint patron de l’Arme Blindé et Cavalerie

Saint Georges (mort vers 303) est né en Cappadoce, de mère chrétienne ; celle-ci l’instruisit tôt dans la foi chrétienne et Georges, jeune encore, est réputé avoir combattu le paganisme et brisé des idoles dans les temples païens. C’est peut-être de là qu’est née la légende tardive transmise par Jacques de Voragine du combat contre le dragon (peut-être une figure de ce paganisme idolâtre).
Georges devint soldat et tribun dans l’armée impériale; c’est là que l’atteignit la persécution de l’empereur Dioclétien qui le fit décapiter vers 303, en raison de sa foi chrétienne, à Lydda, aujourd’hui Lod en Israël.
Les circonstances exceptionnelles de sa mort l’on fait appeler par les chrétiens d’orient « le grand martyr ». Son culte s’est très rapidement développé. Il est devenu le saint protecteur de nombreux pays, de l’Angleterre, notamment, et de la Géorgie qui porte son nom.
Les croisades contribuèrent à donner au culte de saint Georges un grand éclat, notamment parmi les chevaliers français et anglais. Il était légitime que les cavaliers le choisissent comme saint protecteur.