Temps de prière en ligne avec Eglise Verte pour la COP 26 — Service diocésain de l'Écologie intégrale

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Temps de prière en ligne avec Eglise Verte pour la COP 26

Le Conseil d'Eglises Chrétiennes en France, membre d'Eglise Verte, vient d'adopter une déclaration commune en vue de la prochaine COP 26 Climat de Novembre. Préoccupé pour l'avenir de notre maison commune, il réaffirme la nécessité d'une conversion écologique personnelle et globale. Il appelle notamment à un jeûne ainsi qu'à la prière. Eglise Verte se saisit de cette idée en proposant une heure de Prière en ligne pour la COP 26 le dimanche 31 octobre à 16h.

Eglise Verte, avec les Eglises chrétiennes de France, se mobilise en vue de la COP 26 (qui aura lieu à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre). En effet, cette rencontre internationale sur le climat comporte des enjeux cruciaux pour l'avenir de l'humanité. C'est dans cet esprit de gravité que le Conseil d'Eglises Chrétiennes en France (CECEF) a adopté dernièrement sa déclaration oecuménique en vue de la 26ème Conférence des Nations unies sur le climat (COP26).

A la veille de ces rencontres de Glasgow, le CÉCEF engage ses communautés à une journée de prière le 31 octobre et de jeûne le 6 novembre, afin de soutenir spirituellement l’engagement des personnes « de bonne volonté » et d'interpeller les décideurs nationaux et locaux.

"Six ans après l'Accord de Paris, les dirigeants seront appelés à faire preuve de courage et à se montrer à la hauteur des enjeux du plus grand défi de l'histoire de l’humanité."

Pour fédérer cette prière, Eglise Verte propose une heure de prière en ligne le dimanche 31 octobre à 16 heures. Ce temps de prière œcuménique comportera aussi des moments d’information sur les enjeux de la COP 26. RDV sur leur site internet pour s'inscrire et recevoir le lien zoom.

Dans leur déclaration commune, les membres du CECEF s'adressent aux dirigeants du monde entier, et à la France en particulier. Ils demandent notamment le renforcement des mesures pour atteindre l'objectif de l'accord de Paris. Cet accord, signé en 2015 lors de la COP 21, prévoyait une réduction des émissions de CO² permettant de limiter le réchauffement planétaire à 1.5°C. Loin d'être atteint, et ce malgré la bonne volonté de certains pays, les émissions mondiales suivent plutôt une courbe croissante à l'heure actuelle. Les modélisations du GIEC sont pourtant formelles, le moindre dixième de degré compte pour limiter les effets dramatiques des déréglements climatiques sur les populations du monde.