Joie de voir mais surtout joie de croire Monique Champy 21 avril

Joie de voir mais surtout joie de croire

« Voici le jour que fit le Seigneur, qu’il soit pour nous jour de fête et de joie », nous disait le psaume 117 du dimanche 19 avril, dimanche de la Divine Miséricorde.

  En ces jours de grande inquiétude causée par la pandémie qui continue à semer la douleur et la mort, nous avons du mal  à accueillir la joie qui vient de Pâques.
Comment est-il possible de vivre l'atmosphère de joie qui vient de la foi dans le Christ ressuscité ?
Mais, par LUI, nous devons vivre en communion d'émerveillement et de confiance dans l'épreuve.

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JOIE

Joie profonde, inaltérable, qui ne m’appartient pas mais qui m’habite.
Joie malgré les aléas, les duretés, les difficultés de la vie,
les médias qui nous balancent tout ce qui va mal dans notre monde
et rarement ce qui va bien.
Joie incommensurable de Celui qui s’est installé inconfortablement en moi
et que je ne peux déloger tant qu’il se trouve bien
dans le débarras poussiéreux de mon cœur.
Oui, il est présent Celui que mon cœur aime.
Ce silencieux hôte qui me bouscule et qui chante en moi.
Joie que personne ne peut me ravir,
car elle n’est pas de moi, mais de Lui, Jésus Christ.
Cette joie, elle est à donner à qui la veut.

Sa petite sœur, Monique N’Risa (Champy), 2005
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PSAUME 67

Les justes sont en fête, ils exultent;
devant la face de Dieu, ils dansent de joie.
Chantez pour Dieu, jouez pour son nom.
Son nom est Le Seigneur; dansez devant sa face.
Père des orphelins, défenseur des veuves,
tel est Dieu dans sa sainte demeure.
A l’isolé, Dieu accorde une maison;
aux captifs, il rend la liberté.
Tu répandais sur ton héritage une pluie généreuse,
et quand il défaillait, toi, tu le soutenais.
sur les lieux où campait son troupeau,
tu le soutenais, Dieu qui es bon pour le pauvre.