Confessions dans le doyenné

Le sacrement de réconciliation (ou confession) est le signe de l’amour infini de Dieu. Le pardon de Dieu est toujours possible, si nous faisons une démarche vraiment sincère. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l’amour infini de Dieu est toujours le plus fort. Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères.

Notre chemin vers Pâques

Pour nous permettre de vivre notre carême, nos prêtres nous accueilleront pour des confessions individuelles et pour des célébrations du pardon avec absolution collective.

Confessions individuelles les samedis après-midi de 14h à 15h30

Samedi 13 mars à l’église de Franois
Samedi 20 mars à l’église de Pouilley-les-Vignes
Samedi 27 mars à l’église de Marnay

Célébrations du pardon avec absolution collective

Jeudi 25 mars à 16 h à l’église de Franois
Vendredi 26 mars de 14h30 à l’église de Pin

à lire aussi: La pénitence et la réconciliation - Dossier CEF
Ce sacrement est le signe de l’amour infini de Dieu. Le pardon de Dieu est toujours possible, si nous faisons une démarche vraiment sincère. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l’amour infini de Dieu est toujours le plus fort. Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères.; Une web-série sur la confession - Diocèse de Versailles
Alfred est un catho pratiquant qui a un peu de mal avec la confession : en 6 épisodes, cette mini série devrait aider à lever quelques freins classiques au sacrement de réconciliation. On espère que vous aimerez et que comme nous, vous finirez par vous dire que “Finalement, se confesser, ce n’est pas si compliqué” !; La confession, un sacrement pour laisser le Christ guérir son âme - Vatican News
Créée à l’image de Dieu, la personne humaine est un être à la fois corporel et spirituel. Et si la pandémie devenait l’occasion de prendre soin de son âme? La confession est une manière de retrouver la santé spirituelle, pour le bien de la personne toute entière. Entretien avec le père Guillaume de Menthière, du diocèse de Paris.