Et si les saints nous coachaient sur nos émotions ? — Doyenné 05 / Haut-Doubs Forestier

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Et si les saints nous coachaient sur nos émotions ?

Comment les plus grands saints ont-ils géré leurs émotions ? En lien avec Edwige Billot, auteur de « Et si les saints nous coachaient sur nos émotions ? » (Téqui), Aleteia vous propose de découvrir chaque jour une astuce de saint pour orienter une émotion selon le cœur de Dieu.

Accueillir la tristesse avec Thomas d’Aquin (1/5)

Saint Thomas d’Aquin définit la tristesse comme « la douleur de l’âme ». Le piège de la tristesse, c’est de s’y complaire indéfiniment et de sombrer dans le désespoir. C’est la « tristesse excessive » dénoncée par Saint Paul (2Co, 2,7). Un état qui finalement nous éloigne de Dieu, Lui qui est source d’espérance.

La tristesse

Canaliser sa colère avec François de Sales (2/5)

Connu pour sa douceur, saint François de Sales apporte un précieux témoignage exhortant à réprimer les premiers mouvements de la colère. « Montagnard au tempérament assez sanguin et bien trempé, il apprit si bien à se maîtriser qu’avec la grâce de Dieu, il devint un modèle de patience et de douceur », assure Edwige Billot. Saint François de Sales définit la colère comme une boursouflure du cœur, souvent accompagnée d’un « appétit de vengeance ».

La colère

Surmonter sa peur avec Ignace de Loyola (3/5)

Vivre dans le présent, faire à sa mesure, et avoir confiance en Dieu sont trois leviers puissants pour vaincre toutes sortes de peur. En premier lieu, il est bon de s’efforcer à vivre dans le présent. Selon saint Ignace, « l’anxiété et l’inquiétude de l’esprit ne plaisent point à Dieu ». Imaginer des scénarios catastrophes, appréhender le lendemain, angoisser face à l’inconnu, reposent sur des faits plus ou moins réels et ne font qu’amplifier la peur.

La peur

Combattre la paresse avec Jérôme de Stridon (4/5)

Procrastination, flemme, paresse… Autant d’émotions qui nous sont familières, et qui demandent à être combattues. En effet, pour saint Paul, la paresse est un péché contre la charité. « En ne faisant pas ce que l’on peut attendre de nous, nous blessons les autres et nous-mêmes, puisque nous ne mettons pas en œuvre les talents qui sont les nôtres », précise Edwige Billot. En outre, l’oisiveté est dangereuse dans la mesure où elle facilite les tentations.

La paresse

Renoncer au mépris avec saint Vincent de Paul (5/5)

Par sentiment de supériorité ou par manque d’intérêt à l’égard d’une personne de son entourage, le mépris s’immisce parfois inconsciemment dans la vie quotidienne. Une tendance que l’Evangile, prônant l’amour et la charité notamment envers les plus faibles, invite à combattre.

Le mépris

 

« Et si les saints nous coachaient sur nos émotions ? » par Edwige Billot, aux éditions Téqui 

(disponible à la librairie diocésaine Passage 18)