Vivre l'Avent avec Fratelli Tutti — Diocèse de Besançon

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Vivre l'Avent avec Fratelli Tutti

Jusqu'au 24 décembre, continuez d'ouvrir les cases du calendrier de l'Avent numérique du diocèse. Elles vous révèlent chaque jour un extrait de l'encyclique choisi par un membre du diocèse. Une belle façon de redécouvrir la dernière encyclique du Pape François et de partager des valeurs de solidarité, de fraternité et de paix !

Ouvrir les cases du calendrier de l'avent du diocèse de Besançon

Calendrier Vivre l'Avent avec Fratelli Tutti 

Jeudi 24 décembre

Ces paroles du Pape François arrivent au terme de cette belle encyclique sur la fraternité (Fratelli Tutti). J’y retrouve les grands thèmes qui traversent le message du Pape François. Au cœur de la vie chrétienne se trouve l’Evangile. Marie a porté l’Evangile en son sein, en ses entrailles. A notre tour, portons l’Evangile en nos entrailles, en nos cœurs, en nos intelligences, en nos esprits et en nos âmes. L’Evangile, Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu pour tous, est don de Dieu pour toute l’humanité. La joie est au cœur du message du pape François. La joie est présence de Jésus-Christ à nos côtés et en nous. Il est l’ami qui écoute nos bonheurs et nos tristesses. Il est Celui à qui nous pouvons tout confier. Il est celui qui marche avec nous et qui nous porte lorsque le chemin est trop rude. L’Evangile a vocation à irradier tous les aspects de la vie chrétienne. Il est la Parole de Dieu qui vient transformer toute notre vie d’hommes et de femmes. Au temps de Noël, l’Evangile se fait chair ; l’Evangile se fait mendiant ; l’Evangile se fait lumière ; l’Evangile se laisse porter par les bergers.

Accueillons en nos vies, Celui qui vient, qui est et qui sera pour toute éternité.

+ Jean-Luc BOUILLERET, Archevêque de Besançon

 

Mercredi 23 décembre

Dignité inconditionnelle de l’homme quelle-que-soit son état de pauvreté relative : maladie, migration, chômage…

 

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 22 décembre

Cette partie de l’encyclique met en lumière les valeurs de la solidarité, du partage et de respect de l’autre, l’amour  pour  les plus démunis.

 

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 21 décembre 

« Seigneur, fais de moi, fais de nous, un instrument de ta paix,

Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon.

Là où est la discorde, que je mette l’union.

Oui, Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler,

à être compris qu’à comprendre, à être aimé qu’à aimer.

Car c’est en se donnant qu’on reçoit, c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,

c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on ressuscite

à l’éternelle vie. »

 

dimanche 20 décembre

Devant la tentation des premières communautés chrétiennes de refaire des petites unités  fermées et isolées saint Paul rappelle que  l’amour  se construit en communauté de frères, amour qui a saveur de  compassion et de dignité expérimenté en une grande famille : L’Église de Jésus Christ !

 

 

 

 

 

 

 

samedi 19 décembre 

Il est vrai qu’accorder son pardon n’est pas chose aisée.

C’est une démarche très personnelle qui permet d’avancer dans sa vie, quelle que soit la gravité de la blessure.

 Il est néanmoins indispensable d’aller chercher dans le plus profond de son cœur le courage d’accorder son pardon à la personne qui nous a blessés.

Le vrai Pardon s’apprend et dépend de nous seuls mais nous permet de cheminer vers la Paix intérieure.

 

 

 

 

Vendredi 18 décembre

La mise en place de processus fait partie d’un des principes d’action proposés par le pape François. Il nous invite à une démaîtrise, à ne pas être focalisé seulement sur des objectifs immédiats. Un changement de perspective :  “Nous devons donner à notre chemin le rythme salutaire de la proximité, avec un regard respectueux et plein de compassion mais qui en même temps guérit, libère et encourage à mûrir dans la vie chrétienne.” (Evangelii Gaudium n.169)

Que ce temps de l’Avent puisse nous permettre de porter un regard différent sur les personnes qui nous entourent, nous incite à être des témoins de l’espérance, de joie et de paix à l’image de Jésus Christ. Une attitude qui pourra encourager les enfants à faire de même.

 

 

 

 

Jeudi 17 décembre

Le plus grand danger pour un être humain c’est de ne pas aimer. Comme nous le dit le Pape François dans son encyclique, l’amour nous met en mouvement, en tension vers la communion universelle. Personne ne mûrit ni n’atteint sa plénitude en s’isolant. L’amour exige une ouverture croissante, une plus grande capacité à accueillir les autres.

 

 

 

 

 

 

mercredi 16 décembre

En lisant ces quelques lignes, j’ai repensé aux enfants porteurs de handicap que j’ai accompagnés pendant un bon moment sur leur chemin de foi. Qui était au service de qui ? Ils m’ont aidée à rencontrer le Seigneur d’une façon toute simple, sans fioritures, avec spontanéité. Tout est source de confiance et d’abandon. !

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 15 décembre 

"Parfois, la rapidité du monde moderne, la frénésie nous empêchent de bien écouter ce que dit l’autre. Et au beau milieu de son dialogue, nous l’interrompons déjà et nous voulons répondre alors qu’il n’a pas fini de parler. Il ne faut pas perdre la capacité d’écoute ». Saint François d’Assise « a écouté la voix de Dieu, il a écouté la voix du pauvre, il a écouté la voix du malade, il a écouté la voix de la nature. Et il a transformé tout cela en un mode de vie. Je souhaite que la semence de saint François pousse dans beaucoup de cœurs ».[49]"

S’asseoir ! Quelle attitude paradoxale ! Comme si nous avions le temps, alors qu’enfin la levée du confinement va nous permettre d’accomplir mille choses que nous avons dû reporter depuis longtemps ! Mille choses belles et importantes, comme la préparation des fêtes qui arrivent !

Mais alors, maintenant, prendre un temps pour s’asseoir ? Pourquoi faire ? Pour écouter son conjoint, ses enfants, sa famille, ou même le collègue ou le voisin… un temps où même nous pourrions même être assez fou pour prendre deux minutes pour échanger un mot avec le SDF assis au bord de la route !

Un temps pour s’asseoir avec nos frères et sœurs ! Qui sait, si, après, nous n’entendions pas mieux la voix de Dieu qui vient !

 

lundi 14 décembre

Le Pape François consacre tout le chapitre V à « La meilleure politique », celle qui se met au service du bien commun. En s’opposant au populisme, il invite le peuple, compris comme une notion plus ouverte, à la responsabilité. Chacun peut s’interroger sur la manière dont il agit et choisit, dont il se forme et se ressource, dont il s’informe, dont il prend soin des autres et de la Terre : Qu’est-ce que ma manière de vivre apporte au bien commun ? Quelle est ma contribution personnelle au bien-être communautaire ?

 

 

 

 

 

 

 

Dimanche 13 décembre

La fraternité est un appel exigeant qui se vit au quotidien, en famille, au travail, dans tous nos lieux de vie : “s’il te plait”, “pardon”, “merci”. En ce temps de l’Avent, l’attente réveille l’attention et seule l’attention est capable d’aimer. Que le Seigneur nous donne d’être attentifs !

 

 

 

 

 

 

 

samedi 12 décembre 

Apprendre, ensemble, chrétiens et concitoyens, à donner de l'importance au tissage d'un rapprochement entre toutes les personnes qui composent notre société d'aujourd'hui et nous soucier des uns des autres, dans un estime mutuel afin de cultiver des liens nouveaux dans un  accueil réciproque de la culture de l'autre, du dialogue et de la mixité sociale, pour que la fraternité devienne un bien commun durable et nos relations vraies puissance de vie !

 

 

 

 

 

 

 

Vendredi 11 décembre


Tout dialogue commence par une écoute attentive. 
C’est dans la réception pleine de gratitude que je reconnais la valeur de la parole de celle ou de celui que j’écoute. 
Suis toujours à l’écoute, de Dieu, de mes frères? avant de prier, de parler ?
 

 

 

 

 

 

 

Jeudi 10 décembre 

Beaucoup d’observateurs de la société notent qu’il ya de plus en plus de gens atteints de dépression. Crise psychologique ? Mais aussi crise spirituelle. Il y a une torpeur, une négligence spirituelle, des compensations consuméristes, différentes sortes d’héroïsme désabusé, ou encore la goguenardise condescendante vis-à-vis de toute ouverture religieuse. Les textes bibliques du temps de l’Avent évoquent nos « déserts ». Réagissons : « Marchons dans l’espérance ! ».

L’espérance est à cultiver, pas seulement à notre profit à nous chrétiens, mais elle est aussi une mission : la propager au service de tous. En réalité, plus en profondeur, il y a un terrain favorable pour cette invitation à l’espérance. L’encyclique « tous frères » parle d’une aspiration, d’un « désir de plénitude ».

Chaque époque a quelques mots favoris pour parler des aspirations spirituelles les plus partagées. Aujourd’hui, le mot plénitude est précieux notamment pour le dialogue interreligieux et interconvictionnel. Pour nous, chrétiens, il nous parle de Jésus – « Car Dieu a jugé bon qu’habite en lui toute plénitude »(Col, 1,19). Mais pour tous il évoque une aspiration profonde et puissante, à une unité de vie, de sens, de qualité relationnelle, à la réalité de la justice. Ayant l’audace d’aspirer à la plénitude.

 

Mercredi 9 décembre 

En évoquant la pandémie, le pape François nous dit "Nous nous sommes rappelés que personne ne se sauve tout seul, qu'il n'est possible de se sauver qu'ensemble." (§ 32) Pour avancer ensemble la bienveillance est indispensable : sans elle, il ne peut y avoir de dialogue, d'entraide, et donc de sauvetage. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 8 décembre 

"Un chrétien isolé est un chrétien en danger", il est nécessaire de retrouver le sens de la communauté et de s'appuyer les uns sur les autres pour avancer vers un avenir meilleur pour tous.

 

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 7 décembre 

La communication numérique n’est pas une fin en soi. Elle n’est tout au plus qu’un outil, un moyen parmi d’autres, pour atteindre l’autre, pour entrer en contact avec l’autre.
Elle peut être une entrée en matière comme l’était jadis la communication épistolaire. Elle peut être porteuse de message comme le faisaient les hérauts d’antan. Mais soyons réaliste, elle peut aussi être destructrice, conduire à la haine ou la violence. Tout comme peuvent l’être les mots prononcés de vive voix, les yeux dans les yeux de son auditoire, n’est-ce pas ?
Cependant, ce n’est pas parce qu’on peut en faire tout et n’importe quoi, qu’il faut se dispenser de ces moyens de communications numériques ! Laissons-les à la place qui doit être la leur dans notre monde d’aujourd’hui : un moyen parmi d’autres pour se rapprocher d’autrui.
Connexion numérique ? Alors oui, pourquoi pas, si elle est utile et bienveillante envers son prochain, si elle permet d’aller vers lui. Mais ce n’est qu’une pierre parmi d’autres, ce n’est pas le ciment qui donne sa consistance à la relation entre les hommes.

 

 

 

Dimanche 6 décembre

Sans oublier de tendre la main à ceux qui souffrent et qui nous sont proches, n'est-ce pas aussi notre rôle de chrétiens de participer avec d'autres à la construction d'un monde plus juste, plus fraternel, respectueux de la création, en ajoutant la force de notre espérance aux mouvements populaires qui de toute part interrogent le système politique actuel et jettent avec confiance les bases d' un avenir heureux et possible pour tous les vivants ?

 

 

 

 

 

 

 

Samedi 5 décembre 

Ce sont ces deux phrases qui ont retenues mon attention. Parce que nous devons vraiment donner beaucoup d’intérêt et consacrer du temps à une bonne éducation de nos enfants qui sont l’avenir de notre société. Ils doivent être éduqués au dialogue qui est  un élément profond et fondamental pour établir la paix, l’amitié, l’harmonie, la vérité, la compréhension,l’entente et le pardon entre les personnes, les peuples,les nations,les religions.

 

 

 

 

 

 

 

Vendredi 4 décembre 

À travers cette encyclique, le lecteur découvre l'impact apporté par des hommes qui ont marqué la société contemporaine, que ce soit Desmond Tutu, le Mahatma Gandhi ou encore Martin Luther King, l'esprit est comparable à une fenêtre ouverte sur le monde, dans un contexte de mondialisation galopante. Mais le regard porté vers la société en transformation ne se comprend qu'à partir d'une connaissance accrue des cultures à partir desquelles chacun tire ses racines, c'est là que ce trouve notre force, ce regard nous tourne vers le mystère de la Nativite, c'est la que nous trouvons la source de l'amour.

 

 

 

 

 

 

jeudi 3 décembre

 

 

Pendant les périodes de confinement nous avons créé des liens, pris du temps pour contacter notre voisin isolé, des amis ou parents plus éloignées . Offrir un sourire avec le masque, ce n'est pas facile mais cela se voit, on peut sourire avec les yeux en associant une parole bienveillante. Pendant ce temps de l'Avent nous sommes invités à veiller. Veillons donc à écouter, à "cultiver la bienveillance" chaque jour pour améliorer les relations sociales, pour faciliter "le consensus et ouvrir des chemins là où l'exaspération détruit tout pont".

 

 

 

 

 

 

Mercredi 2 décembre

Audace et Espérance, deux attitudes à vivre pleinement pendant ce temps de l’Avent pour voir et rendre la vie plus belle. Ensemble, marchons dans l’espérance !

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 1er décembre

A travers des gestes et des paroles toutes simples, on peut créer autour de soi un climat serein, de bienveillance qui sera source de paix et de fraternité.

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 30 novembre

Les semaines passées ont mis à l’épreuve notre communion. Un enjeu d’avenir, pour notre Église comme pour notre société, est de se demander : comment allons-nous pouvoir vivre ensemble avec (et non malgré) nos différences ? Comment arriver à considérer nos différences de sensibilité, de compréhension, de positionnement, comme des richesses et non des facteurs de division ? S’interroger sur la façon dont nous prenons soin de notre fraternité, de notre communion, de notre bien commun est une excellente manière de se préparer à Noël et de construire l’avenir. Et si je me demandais ce que j’apporte à la fraternité en m’adressant aux autres ?

 

 

 

 

Dimanche 29 novembre

La Nativité célèbre le don gratuit de Dieu qui s’incarne en Jésus, accueilli inconditionnellement par Marie et Joseph.