Dimanche de la Santé 2024 — Diocèse de Besançon

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Dimanche de la Santé 2024

Dimanche de la Santé 2024, 11 février

Depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale des Malades. Celle-ci se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, occasion de rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes est une priorité évangélique, mais aussi de sensibiliser chacun pour préserver le don de la santé.

Partout où est l’Eglise, la mission est à l’œuvre, car la promesse de Dieu est pour tous.

« Les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ, et il n’est rien de vraiment humain qui ne trouve écho dans leur cœur. » (Gaudium et Spes.1.)

Chaque année, le dimanche de la santé nous invite à vivre ce qui est vraiment humain :

Ce qui est vraiment humain, c’est ce que vivent les personnes dont la santé est altérée.

Ce qui est vraiment humain c’est ce que vivent les professionnels de la santé dans leurs métiers et leurs compétences, dans l’organisation et les moyens qu’ils mettent en place pour le service de ceux qui souffrent.

Ce qui est vraiment humain mérite une attention privilégiée de la part des chrétiens qui croient en un Dieu qui a pris chair et s’est fait homme.

Aujourd’hui, nos prières vont particulièrement vers tous ceux qui se battent pour que la souffrance, quelle qu’elle soit, ne nous fasse pas oublier ce qui est vraiment humain.

Le message du Pape François

« Il n’est pas bon que l’homme soit seul ». Soigner le malade en soignant les relations

« Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Gn 2, 18). Dès le début, Dieu, qui est amour, a créé l’être humain pour la communion, en inscrivant dans son être la dimension des relations. Ainsi, notre vie, modelée à l’image de la Trinité, est appelée à se réaliser pleinement dans le dynamisme des relations, de l’amitié et de l’amour réciproque. Nous sommes créés pour être ensemble, et non pour être seuls. Et c’est justement parce que ce projet de communion est inscrit si profondément dans le cœur de l’homme que l’expérience de l’abandon et de la solitude nous effraie et est douloureuse, voire inhumaine. Elle l’est encore plus dans les moments de fragilité, d’incertitude et d’insécurité, souvent provoqués par l’apparition d’une maladie grave.

Je pense, par exemple, à ceux qui se sont retrouvés terriblement seuls durant la pandémie de Covid-19 : les patients qui ne pouvaient pas recevoir de visites, mais aussi les infirmiers, les médecins et le personnel de soutien, tous débordés et enfermés dans des salles d’isolement. Et bien sûr, n’oublions pas ceux qui ont dû affronter l’heure de la mort tout seuls, soignés par le personnel de santé mais loin de leurs familles. (…)

⇒ Lire l’intégralité du message du Pape François pour la 32ème Journée mondiale du malade

⇒ Pour plus d'infos, site de la CEF.